Cette dernière partie de l’hiver peut sembler interminable. Le printemps est à un mois ou plus de sa déclaration, l’équinoxe vernal est une rumeur. La saison des bourgeons et de leur belle effusion approche, mais elle n’est pas encore là. Le plus sombre avant l’aube ? Ça l’est vraiment. Nous avons besoin d’espoir, avec des pétales. C’est le moment où les jardiniers se tournent avec un intérêt renouvelé vers les plantes à fleurs les plus prémonitoires. Ils défient la saison, fleurissant quoi qu’il arrive : Arbres, arbustes, vivaces, mauvaises herbes à gazon ! Tout pour nous montrer que la vie persiste, et reviendra.
Des plantes sous les pieds aux branches au-dessus, voici quelques-uns des signes avant-coureurs les plus fiables du printemps, les lumières florales au bout du tunnel.
Photographie de Marie Viljoen.
Henbit
Nous commençons avec une petite mauvaise herbe. Mais bénie est la pelouse entrelacée avec l’étalement de henbit, un membre de la menthe (Lamiacées) famille. Comme ses cousins plus tardifs à floraison mi-printemps, la lamier et le lierre terrestre, les fleurs vives et à longue gorge du henbit s’ouvrent tôt pour nourrir les abeilles et pour égayer et diversifier ce qui est si souvent une monoculture stérile d’herbe.
Pétasite

Pétasite (membres du genre Pétasites) sont des plantes esthétiquement fascinantes, dont les capitules touffus d’un autre monde se matérialisent à partir d’un sol aride des mois avant que leurs feuilles d’aspect préhistorique ne s’étalent largement à l’ombre. Les plantes sont originaires d’Asie centrale et orientale, où elles sont considérées comme des hérauts comestibles du printemps (les fleurs et les tiges tendres des feuilles doivent être cuites avant d’être consommées).
Alors que les pétasite non indigènes sont des plantes exceptionnelles pour les zones difficiles comme l’ombre profonde et les sols mal drainés, ils sont mieux adaptés aux confins des jardins urbains qu’aux habitats de campagne plus vierges ou préservés, où leurs tendances envahissantes peuvent causer des problèmes plus étendus. . Là est un pétasite nord-américain, cependant: épris de zones humides Petasites frigidus (le nom de l’espèce dit tout), mais on ne le trouve pas facilement dans les pépinières. Y a-t-il des cultivateurs parmi vous ? Il y a un créneau.
Perce-neige
Perce-neige—Galanthus nivalis (dont le nom d’espèce – « de la neige » – dit l’hiver) – apparaissent bien avant que les températures glaciales n’en aient fini avec nous. Un pinceau délicat et doux du printemps en hiver, ils prospèrent sous les arbres à feuilles caduques, éclaircissant la litière de feuilles et devenant dormants en été.
Hellébores
Les hellébores, ou roses de Carême, n’ont pas besoin d’être présentées, mais il convient de se rappeler qu’avec un peu de toilettage, elles peuvent être spectaculaires plutôt qu’échevelées : tailler tout feuillage endommagé ou déchiqueté de la saison précédente permet de voir (et de photographier) leurs fleurs exquises. ) à l’effet le plus flatteur.